La nouvelle secrétaire générale de la Fédmédcom s‘appelle Isabelle Zimmermann et prendra ses fonctions le 1er mars 2017. Madame Zimmermann travaille dans le domaine de la santé publique en tant qu'économiste depuis près de 20 ans. Depuis 2009, elle dirige le département « Communication, finances, administration » de l’« Association nationale pour le développement de la qualité dans les hôpitaux et les cliniques ANQ » dont elle est également la directrice remplaçante. Nous sommes heureux d’avoir trouvé une véritable spécialiste pour succéder à Christine Keller Sallenbach.
Christine Keller Sallenbach a décidé de quitter le secrétariat général de la FEDMEDCOM à la fin septembre 2016. Elle en avait pris la responsabilité en janvier 2010, peu après l’intégration du Forum pour une médecine intégrale (ffg) dans la Fedmedcom nouvellement créée. Battante convaincue et douée d’une grande expertise politique, elle a marqué la Fédération de son empreinte ces dernières années.
Le comité regrette vivement la démission de Christine Keller. Il la remercie de l’excellent travail fourni au cours de toutes ces années. Plusieurs des revendications centrales de l’article
constitutionnel 118a Médecines complémentaires ont désormais une base légale. Mais le travail continue : il s’agira, par exemple, d’accompagner les projets d’ordonnance dans le droit sur les
produits thérapeutiques et de s’assurer qu’elles soient appliquées uniformément. Une autre tâche est d’uniformiser les autorisations de pratiquer et les règlementations en matière de remise de
médicaments pour les thérapeutes non-médecins.
C’est le cabinet de communication politique Köhler, Stüdeli et Partner Sàrl qui a le mandat de diriger la Fédération de la médecine complémentaire. Le comité de la FEDMEDCOM a été informé que le
poste est mis au concours.
Toute personne intéressée à postuler peut trouver des informations sous www.koest.ch
La Fedmedcom salue la nouvelle règlementation que le Conseil fédéral propose pour la prise en charge des prestations médicales de la médecine complémentaire. Celle-ci permet de mettre enfin en œuvre une des revendications centrales de l’article constitutionnel
118a Médecines complémentaires, à savoir le remboursement des prestations médicales de la médecine complémentaire par l’assurance de base.
Une première analyse des prises de position déjà connues d’autres organisations montre que l’application du principe de confiance aux branches médicales de la médecine complémentaire est majoritairement bien accueillie. La proposition du Conseil fédéral rencontre l’adhésion, entre autres, de la Conférence suisses des directrices et directeurs cantonaux de la santé CDS, de l’association des caisses maladie Curafutura, de la FMH, de Médecins de famille et de l’enfance Suisse ainsi que de la grande majorité des partis politiques. L’organisation santésuisse se montre critique. Elle est d’avis que la preuve
scientifique d’efficacité n’est pas suffisante. Il existe pourtant, pour les branches médicales de la médecine complémentaire, un grand nombre d’études cliniques d’un haut niveau d’évidence, absolument comparables aux études de médecine académique.
Les données actuelles de la filiale de santésuisse, SASIS, prouvent que les médecins appliquant des méthodes de médecine complémentaire sont tous meilleur marché que le groupe témoin des médecins de premier recours ne traitant que par allopathie. La crainte d’une augmentation est infondée. Les traitements de médecine complémentaire permettront au contraire des économies dans l’AOS.
Les traitements des branches non-médicales de la médecine complémentaire
restent à la charge des assurances complémentaires ou du patient.
Pour toutes questions, s’adresser à :
Dr.med. Hansueli Albonico, membre du comité de la Fedmedcom et Président de l’Union des sociétés suisses de médecine complémentaire, 079 595 79 48, hu.albonico@hotmail.com
Walter Stüdeli, responsable Politique et Médias de la Fedmedcom, 079 330 23 46, walter.stuedeli@dakomed.ch
Remarque :
Les chiffres de Sasis se trouvent en annexe de la prise de position de la Fedmedcom.
Dans l'HEBDO du 12.5.2016 - Analyse, à l’aune de la science, de cinq méthodes complémentaires couramment utilisées en Suisse, ou remboursées par la LAMal.
Dans L'HEBDO du 12.5.2016 - Si les médecins ont longtemps boudé les médecines complémentaires, ils sont aujourd’hui toujours plus nombreux à se former à ces disciplines.
pharmaJournal 07 / 2016 - Les differents centres de formation postgrade et continue en homeopathie classique seront desormais regroupes sous une seule enseigne: Ia SSMH Academy. Objectifs: attirer davantage de participants, promouvoir Ia Formation academique en homeopathie classique et enfin, assurer l'integration de cette discipline therapeutique dans Ia pratique medicale de base.
L'assurance obligatoire des soins continuera de prendre en charge les prestations de la médecine complémentaire. Le Département fédéral de l'intérieur (DFI) souhaite mettre les médecines complémentaires au même niveau que les autres disciplines médicales. Il lance aujourd'hui la procédure d’audition concernant les modifications d'ordonnances correspondantes.
Berne, 18 mars 2016: l’Association suisse pour les médicaments de la médecine complémentaire ASMC salue la deuxième révision ordinaire de la loi sur les produits thérapeutiques LPTh. Le législateur donne un signe clair en faveur du renforcement des médicaments de la médecine complémentaire et de la phytothérapie dans les soins de base. La LPTh décrit désormais de manière détaillée les procédures simplifiées d’autorisations pour
toutes les catégories de médicaments complémentaires et végétaux. L’autorité règlementaire reçoit ainsi des directives claires valables aussi pour l’application.
Une autorisation de mise sur le marché pour les médicaments complémentaires et végétaux se heurte aujourd’hui à d’importants obstacles bien que la loi actuelle sur les produits thérapeutiques prévoie déjà une « procédure simplifiée ». Cette règlementation sévère a pour
conséquence une diminution régulière, année après année, des médicaments autorisés. On assiste à un transfert vers un nombre limité de catégories régulées comme les compléments alimentaires et les dispositifs médicaux. Dans cette révision de la loi, le Parlement respecte le mandat constitutionnel de l’art. 118a Médecines complémentaires. Il donne un signal clair en faveur du renforcement des produits thérapeutiques naturels dans les soins de base et a
répondu à la revendication de l’ASMC qui demandait de fixer dans la loi, en plus du principe d’une autorisation simplifiée, les critères concrets d’autorisation de mise sur le marché pour chaque catégorie de médicaments.
Vous trouvez le communiqué entier en annexe.
Le Conseil fédéral a adapté L'ordonnance sur la publicité pour les médicaments (OPuM) : l’autorisation accordée par Swissmedic pour un médicament pourra désormais servir d'élément publicitaire.
Le texte prévoit que les mentions obligatoires sur les médicaments devront indiquer que ceux-ci ont été autorisés par l'Institut suisse des produits thérapeutiques, Swissmedic. Les entreprises pharmaceutiques pourront en outre faire apparaître comme élément publicitaire une représentation graphique, clairement définie, indiquant que le médicament en question a été autorisé par Swissmedic. Cette mesure devrait notamment avoir un impact positif en particulier pour les médicaments complémentaires et les phytomédicaments, qui pourront dès lors mieux se distinguer des dispositifs médicaux et des compléments alimentaires. Pour mettre en œuvre ces nouvelles
dispositions, qui donnent suite à la motion Eder (13.3393 : Faire de l'autorisation accordée par Swissmedic pour un médicament un élément publicitaire), un délai transitoire de trois ans est prévu. Ces adaptations s'inscrivent par ailleurs dans la mise en œuvre du nouvel article
constitutionnel sur la prise en compte des médecines complémentaires, approuvé le 17 mai 2009 par le peuple et les cantons.
RTS 2.2.2016 - Les députés vaudois veulent que les patients du CHUV à Lausanne aient un accès équitable aux médecines complémentaires. Ils ont soutenu mardi un postulat en ce sens à la quasi-unanimité.
L'écologiste Catherine Roulet a rappelé que dans le secteur des médecines complémentaires "la demande des patients est forte, surtout en oncologie". Un avis partagé par l'auteure du postulat, Christa Calpini (PLR), qui a regretté que des patients puissent par exemple se faire traiter par hypnose dans un service du CHUV mais pas dans un autre.
Et celle-ci de rappeler que la population suisse a largement accepté en 2009 un article constitutionnel concernant les médecines complémentaires.
Où poser la limite
Le conseiller d'Etat en charge de la santé Pierre-Yves Maillard ne s'est pas opposé au texte. Il "est vrai que ce n'est pas admissible" que certains services autorisent ces prestations et d'autres pas. Et d'ajouter qu'il lui semble possible d'aller vers une uniformisation.
Pour le chef du gouvernement il n'est toutefois pas toujours évident de définir ce que sont les médecines alternatives. "C'est parfois difficile de poser la limite".
27.1.2016 rts - Longtemps rejetées par la médecine académique, certaines thérapies complémentaires font leur entrée dans les hôpitaux. Les patients les réclament et les preuves scientifiques sont de plus en plus nombreuses à les valider.
BARCELONE 1-3 Juillet 2016 - Le Congrès International de Naturopathie ICNM est le plus grand événement fédérateur qui réuni les experts de Naturopathie et de différentes disciplines de la santé naturelle venus de plus de 50 pays.
Ce grand Congrès mondial est à destination des professionnels de santé naturelle et d'un public averti qui souhaite apprendre, échanger et rencontrer les personnalités les plus en pointe de la médecine naturelle.
ICNM est une organisation professionnelle mondiale formée d’experts en médecine naturopathique et de centres d'études dont la mission est de promouvoir la santé par l’éducation, l’échange, et le partage de connaissances à un niveau global.
Le thème 2016: "Prévention Globale: Le rôle de la Naturopathie dans les Maladies Chroniques"
ENFIN! - le Conseil fédéral prévoit pour 2016 une consultation relative à la nouvelle
réglementation pour la prise en charge des prestations de la médecine complémentaire par l'assurance obligatoire des soins
Objectifs du Conseil fédéral 2016
June 9 th to 11th, 2016, Stuttgart, Germany
Join an international community of diverse healthcare professionals - change agents in the transformation of health care - at the 2016 International Congress for Integrative Health & Medicine in Stuttgart, Germany, June 9-11, 2016.
Health professionals, researchers and policy makers from around the world will promote models of care to address chronic disease and high costs facing the world today.